Quelques conseils pour
        l'écriture de votre rapport
    Attention, ce document est
      suceptible d'être modifié. Dernière mise à
      jour : 15 septembre 202.
    Sur la forme
    Pour information, les rapports de 2011-2012 faisaient entre 16 et 28
    pages, ceux de 2021 entre 14 et 28 pages (pour une moyenne de 21
    pages). La taille n'est pas un critère, un rapport apportant les
    mêmes informations en deux fois moins de pages pouvant souvent
    être considéré comme deux fois meilleur ! Faire
    preuve de synthèse fait aussi partie du travail. Le nombre de
    pages peut aussi augmenter si le rapport contient un grand nombre
    d'illustrations par exemple.
    Privilégiez l'usage de Latex. Vous en aurez sans doute besoin
    plus tard (obligatoire dans le cadre de l'UE Projet de Programmation
    de
    Master 1). Et le résultat aura beaucoup plus de chance
    d'être correctement présenté qu'en utilisant un
    outil de type Word ou OpenOffice. Vous pouvez éventuellement
    utiliser Lyx si vous tenez au
    wysiwyg. 
    Votre document doit comprendre un résumé, une
    introduction, une conclusion et surtout une bibliographie (+
    webographie).
    Soyez précis dans la bibliographie. Précisez les
    numéros de page ou chapitres dans la citation : "Comme le dit J. Machin [12, ch. 3],
      ..."
    ou encore "Comme le dit C. Truc
      [4,
      pp 227-229], ...". 
    Dans la bibliographie, donnez bien le nom du ou des auteurs, le
    titre,
    l'année de parution, le numéro ou le volume s'il s'agit
    d'une revue, les numéros de pages s'il s'agit d'un article dans
    une revue, et l'éditeur.
    Pour les pages web, précisez lorsqu'ils sont connus le nom de
    l'auteur et l'année de création. Donnez une
    référence précise (www.wikipedia.fr a peu de
    chance de satisfaire ce critère !), surtout si le site
    consulté est vaste. Le lecteur doit pouvoir accéder
    directement à la page qui l'intéresse.
    Pensez à corriger vos fautes d'orthographe ! Utilisez un
    correcteur orthographique et si vous le pouvez, faites relire votre
    rapport par un œil extérieur. 
    Attention à l'usage abusif des abréviations. Vous pouvez
    en utiliser,
    mais en nombre limité et toute abréviation doit
    être définie lors de sa
    première utilisation.
    Sur le fond
    Tout ce que vous dites dans le rapport doit être justifié.
    Ce qui signifie qu'il provient d'une source fiable. Vous devez donc
    systématiquement citer vos sources et vous assurer qu'elles sont
    fiables. Une autre possibilité est de croiser les informations
    (plusieurs sources). 
    Vous pouvez aussi citer directement une source (recopier un
    passage).
    Il est en effet inutile par exemple d'inventer une définition
    qui sera souvent plus incompréhensible ou plus imprécise
    (voire même en partie fausse) que celle donnée par un
    spécialiste. Dans ce cas, le fait de citer doit apparaître
    clairement : utilisation de guillemets, texte en italique... et la
    source précisée. Évidemment, un document qui ne
    serait que des citations n'aurait pas non plus beaucoup
    d'intérêt.
    Le résumé doit permettre au lecteur de savoir si le
    document le concerne. Il n'est donc pas utile d'y définir tous
    les termes utilisés, contrairement au reste du document.
    Par contre, l'introduction doit poser le contexte du document et en
    particulier donner les principales définitions. 
    L'introduction et la conclusion doivent être
    particulièrement soignées car elles marquent le lecteur.
    Rien de pire dans un document qu'une introduction pleine de
    banalités qui fatigue le lecteur avant de rentrer dans le vif du
    sujet.
    Évitez de faire un rapport qui survole un sujet trop vaste. Il
    vaut mieux le restreindre, par exemple en traitant un ou deux points
    particuliers ou en limitant la période de l'étude.
    Évitez également les longs passages trop techniques : il
    faudra plutôt faire un résumé, une synthèse,
    donnant "l'idée" et renvoyer le lecteur intéressé
    vers des sources bibliographiques ou des pages web. 
    Dans le cadre de "International at home", programme de l'Université
    de Bordeaux auquel est rattaché cette UE, il vous est de plus exigé
    d'avoir des aspects internationaux. Le plus évident est d'avoir des
    sources provenant de pays étrangers, en particulier si vous
    travaillez sur des documents issus du web. Un autre point est
    d'évoquer les aspects internationaux de votre sujet : par exemple,
    si le sujet est une personne, quel est son influence dans les pays
    autre que son pays d'origine (existence de prix, d'universités, de
    rues portant son nom) ? Si c'est une technologie, pouvez-vous dire
    dans quels pays elle est utilisée ? ...